l'ORTF
Bon d'accord je force un peu le trait. Mais il y a de cela ! Mais quoi donc mon brave monsieur ? Mais du sujet passé hier sur Théâtrenjuin concernant "L'amour d'écrire en direct".
Une contreverse (le mot est un peu fort, mais je l'aime bien) commencé comme il se doit à la terrasse des "Deux Magots" ; nous reculons devant aucune dépenses. Mais non, et j'en suis le premier navré. Deux fois plutôt qu'une.
La première, sans véritable importance ; être attablé aux Deux Magots avec quelques existentialistes oubliés là depuis longtemps, la seconde m'attristant réellement. Mais l'erreur a été rectifiée ce matin.
Pour ceux qui on visionné l'interview de Marc-Michel Georges ont pu s'apercevoir qu'un plan entier de la vidéo était sans son. Muet de toute parole. Dû comme le bruit de fond et à la voix compressée (là je n'ai pas rien pu faire) à la compression de l'image et du son qui malheureusement , lorsque l'on a pas un site dédié, se retrouve hébergé par You Tube (merci, c'est gratuit) avec des exisgences techniques qui atrophie la qualité...
Il faudra donc revoir cela un problème qui devrait être résolu avec le site internet...
Quand à la voix perdue de Marc-Michel, il l'a retrouvée. Non, mais, c'est vrai, on est plus au temps de l'ORTF, quoi que !
A y regarder de plus près , à entendre ce que l'on entend on se remet à rêver à la speakerine croisant et décroisant ses jambes avec un sourire continu, au petit train d'interlude, au retour d'un ministère de l'information (au moins, cela sera clair pour tout le monde) et puis au panneau que j'aurais du installé depuis hier coupant brusquement l'émission par un message d'excuse "nous vous prions de bien vouloir nous excusez de cette coupure momentanée de votre émission. Nous mettons tout en oeuvre pour reprendre la diffusion votre programme favori dans les meilleurs délais"
Qu'on ce le dise.
Une contreverse (le mot est un peu fort, mais je l'aime bien) commencé comme il se doit à la terrasse des "Deux Magots" ; nous reculons devant aucune dépenses. Mais non, et j'en suis le premier navré. Deux fois plutôt qu'une.
La première, sans véritable importance ; être attablé aux Deux Magots avec quelques existentialistes oubliés là depuis longtemps, la seconde m'attristant réellement. Mais l'erreur a été rectifiée ce matin.
Pour ceux qui on visionné l'interview de Marc-Michel Georges ont pu s'apercevoir qu'un plan entier de la vidéo était sans son. Muet de toute parole. Dû comme le bruit de fond et à la voix compressée (là je n'ai pas rien pu faire) à la compression de l'image et du son qui malheureusement , lorsque l'on a pas un site dédié, se retrouve hébergé par You Tube (merci, c'est gratuit) avec des exisgences techniques qui atrophie la qualité...
Il faudra donc revoir cela un problème qui devrait être résolu avec le site internet...
Quand à la voix perdue de Marc-Michel, il l'a retrouvée. Non, mais, c'est vrai, on est plus au temps de l'ORTF, quoi que !
A y regarder de plus près , à entendre ce que l'on entend on se remet à rêver à la speakerine croisant et décroisant ses jambes avec un sourire continu, au petit train d'interlude, au retour d'un ministère de l'information (au moins, cela sera clair pour tout le monde) et puis au panneau que j'aurais du installé depuis hier coupant brusquement l'émission par un message d'excuse "nous vous prions de bien vouloir nous excusez de cette coupure momentanée de votre émission. Nous mettons tout en oeuvre pour reprendre la diffusion votre programme favori dans les meilleurs délais"
Qu'on ce le dise.